dimanche 27 décembre 2009

dimanche 13 décembre 2009

Tchou tchou!

dimanche 29 novembre 2009

Petits travers...

Va savoir pourquoi, quand on fait des courses Cyril insiste toujours pour porter le pain...
(encore une histoire follement passionnante!)

samedi 21 novembre 2009

samedi 7 novembre 2009

Chabadabada

mardi 3 novembre 2009

Le Musée de Nouvelle-Calédonie

Voici quelques trucs qu'on a vu là-bas...


Des têtes rigolotes!
(un costume de deuilleur de Nouvelle-Calédonie et une sculpture sur fougère géante du Vanuatu)


Une massue des Iles Marquises


Un petit coquillage attaché sur une pierre avec trois bout de ficelle, et hop voilà une imitation de rat made in Kanaky pour appâter les poulpes!


Toujours des têtes rigolotes (ou qui font peur)
(un chambranle de porte de case et un masque surmonté d'une vraie touffe de cheveux)

dimanche 1 novembre 2009

Kava

jeudi 29 octobre 2009

mardi 27 octobre 2009

Le sacado


Nakéty


Le magasin


Koumac


Bato


Caca prout


Finie la vadrouille!

Bon bin voilà, on est reviendus hier de notre petit tour de l'île.
Le Zivio nous accueille encore quelques nuits à son bord, mais on va essayer de varier un peu les plaisirs et de trouver quelques hôtes bienveillants à terre, histoire de faciliter un peu notre (future) recherche d'emploi...
Premier constat après ces 2 semaines d'autostop : ici, faire du pouce c'est super facile!
Parfois t'as même pas besoin de lever le pouce pour que quelqu'un s'arrête...
Ok y a quand même quelques routes plus désertes (passage de col, route à horaires) où il faut parfois attendre plusieurs heures qu'une voiture qui va au bon endroit passe. Mais quand elle passe, c'est presque sûr qu'elle s'arrête.
Et puis sur ces routes là, c'est les gens qui ne vont pas dans le bon sens qui s'arrétent (voire font demi tour), histoire de te donner quelques conseils, de s'informer si tu vas bien, ou même de t'offrir une boisson gazeuse.
Ca nous a aussi donné l'occasion de découvrir différent points de vue sur l'île, d'apprendre pas mal de choses sur sa société ou son histoire (ouhla sujet complexe et tendu!), et de croiser la route de personnages parfois bien rigolos et bien sympas (on s'est quand même fait offrire un demi cochon cuit au feu de bois!!!).
Deuxième constat : l'île est (foutrement) belle!
Surtout la côte est, où la végétation est foisonnante, et qui reste pas mal sauvage. On trouve juste quelques villages (et quand je dis village je suis gentille : une poste, un magasin en tôle et un emplacement pour le marché communal où les femmes des tribus viennent surtout pour bavarder et s'échanger quelques légumes), et tout un tas de tribus qui vivent pour la plupart en autarcie de leurs petites exploitations (ils arrondissent parfois leurs fins de mois en gérant des campings). Et ça n'a rien à voir avec les exploitations australiennes qui demandent parfois un jour en bagnole pour en faire le tour! Ici les jardins se mélangent à la flore sauvage. Des bananiers, des ignames, des taros, des papayiers, de pieds de litchis, des manguiers, des arbres à pins... et les noix de coco, c'est pour les cochons.
Mais il y a aussi les mines de nickel, qui devisagent les montagnes de l'île. La Nouvelle Calédonie produit 20% du nickel mondial. Autant dire qu'énormement de gens travaillent dans les mines.
Partout les sommets sont grignotés et puis ils sont laissés tels quels quand le filon n'est pas trouvé ou épuisé. Menfin depuis peu la société minière est obligée de replanter quand elle quitte un site.
Et puis il y a aussi les incendies volontaires, dont se plaignent tous les locaux (surtout qu'il n'y a pas de pompiers dans les villages, alors on attend ou on prend la machette, et si jamais le feu s'approche trop du collège, et bin l'hélico d'apocalypse now débarque avec ses quelques m3 de flotte). D'ailleurs un d'entre eux n'est pas passé bien loin de notre camping. Cyril l'a guetté toute la nuit emmitouflé dans sa couette. La fumée et les cendres ont volé partout dans l'air toute la journée.
Enfin bon voilà les première impressions...
Là commence la partie la moins rigolote : trouver du taf (menfin vu les loyers ici, on se demande si c'est vraiment rentable de se fouler à travailler :-) )

vendredi 9 octobre 2009

Miam miam c'est bon l'emmental carrouf

J'aurais jamais cru dire ça un jour, mais après un an de cheddar australien, j'vous dis pas comme j'ai apprécié ce petit (c'est que c'est cher) bout de fromage.
Quoi d'autre d'appréciable? Les gars en voiture qui laisse passer les piétons! En Australie, rien à foutre des piétons, la caisse est reine. Et puis il y a aussi les camions pizza, qui ne font pas de pizzas mais des plats à tendance asiat. L'odeur du saucisson de cerf (il parait qu'ils pullulent ici! les cerfs, pas les saucissons)... pas encore goutés, mais ça ne saurait tarder vu qu'on part en brousse lundi matin. En brousse, ça veut dire hors de Nouméa. On va aller en bus dans la Province Nord puis faire du stop en redescendant par la côte est, plus humide et plus sauvage.
Hormis les cafards et l'odeur d'égout (qui rappelle l'Afrique à Cyril), c'est aussi agréable de retrouver ce petit coté dégling qu'on trouve parfois en France. Ouais parce qu'en Australie, tout est vraiment très policé.
On pensait d'ailleurs trouver tout un tas de boutiques à touristes ici, on pensait que ça serait cliquant. Et bin pas du tout.
Ce qui est moins appréciable, c'est de se dire que tout le monde autour de nous peut nous comprendre. Va vite falloir qu'on assimile ça!
A part ça, vivre sur un bateau c'est plutôt sympa, mis à part le fait de se cogner un peu partout (et puis bien sur les cafards). Une fois à terre, j'ai parfois l'impression que le sol tangue encore sous mes pieds.
Cyril n'a qu'une envie, c'est nettoyer le bateau et partir avec...
Il faut dire que c'est un beau voilier de 1963, tout en bois, et qu'il a vraiment beaucoup de charme.
Notre Couchsurfeur est en mission en Australie et nous l'a donc laissé pour toute la semaine.
Mais pour en revenir à notre arrivée sur l'île (le caillou) on a desuite senti comme un malaise. A peine sortis de l'avion, la policière de l'immigration, vu qu'on faisait la queue chez les "résidents" (une pancarte précisant bien qu'il s'agissait de tous les ressortissants de l'Union européennes), regarde nos passeports et nous dit "vous n'êtes pas résidents, c'est la file pour les résidents". Ok. "Vous allez rester combien de temps?". On sait pas trop. "Vous n'avez pas de billet retour?". Non. "Mouais, vous pouvez y aller". Je sais pas trop ce qu'elle nous a fait, mais bonjour l'accueil.
Ensuite on a été pris en stop par un caldoche (un blanc né ici) très sympa, mais tenant sur les Kanaks le même discours que les Australiens tiennent à propos des Aborigènes : "faut pas les prendre en stop ou trainer dans certaines rues la nuit. Ils boivent et sont dangeureux". Je lui demande : "tu as eu des problèmes toi même ou on t'as raconté?". "J'ai des amis à qui s'est arrivé qu'il me dit". Mouais, il m'a pas convaincu du tout.
Enfin, lundi on va aller sur les territoires kanaks, alors on se fera nous même un idée.

dimanche 4 octobre 2009

Nouméa nous voilà!

Bon bin voilà après une nuit passée à l'aéroport, un peu moins de 3h de vol (et oui, c'est juste à coté), et une heure de stop, nous y sommes : Nouméa!
Le soleil tape fort, la ville est miniscule, et y a un macdo avec wireless alors on en profite!
Faut dire qu'on vit depuis deux jours sur un joli voilier avec minimum d'électricité, toilettes de minipousses, barque à rames pour rejoindre la terre, et quelques cafards sous louant la couchette... alors autant dire qu'il n'y a pas internet!
On s'en fout (enfin, je dors sur le pont quand même vu que les cafards aiment bien mon lit), cette vie sur l'eau à son charme, et j'aime bien etre bercée à longueur de journée..
Plus de nouvelles quand on aura une prise electrique!
Bises

vendredi 2 octobre 2009

Pour belle-moman (et pour les autres aussi)

Belle-moman a tellement aimé mon guacamole qu'elle m'a demandé la recette!
Du coup, la voici :
Pour 4 personnes (à consommer avec un pack de 6 bien frais et des tostadas, des tortillas frites de supermarché)
Ecraser 2 avocats bien mûrs dans un bol (ceux qui ont la peau toutes boutonneuse, pas ceux à la peau lisse) (enlever la peau et le noyau avant de les écraser quand même ho!)
Ajouter une moitié d'oignon très finement émincée, le jus d'un demi citron, du sel, du poivre, et deux petits piments bien piquants, coupés en tous petits morceaux (bon d'accord, si t'es une chochotte tu peux en mettre qu'un seul)
Bien touiller
Laisser au frigo pendant deux trois heures, que le jus de citron cuise l'oignon
C'est prêt!!
Miamiam!

Good bye Australia!




Ayé, dans quelques heures on quitte la maison pour rejoindre l'aéroport international... notre vol décolle à 7h30 du mat, alors on va passer notre dernière nuit dans le pays assis sur nos gros sacs à dos à faire des sudokus.
C'était bien joli tout ça (je garderai en tête cette jolie nature et de bien jolis gens), mais maintenant notre regard se porte vers de nouveaux horizons!
A suivre!

mercredi 23 septembre 2009

Live from mars...

Ce matin au réveil la lumière qui passait à travers les stores était encore bien orangée, signe qu'il est encore super tôt (6h-6h30). J'ai bien essayé de me rendormir, histoire de pas trop être crevée et bougonne au fil de la journée, mais j'y suis pas arrivée. Je me suis donc levée.
Finalement je regarde l'heure, il est quand même 8h30... Uhm uhm étrange...
J'ouvre le store, et l'ambiance est encore plus bizarre, le ciel est couvert d'une espèce de brume orange. Je regarde le sol, il est plein de poussière rouge. On se croirait dans The world the flesh and the devil (va voir ce film, il est trop bon)
Un coup d'oeil sur internet et je découvre vite que tout Sydney, et une large part du NSW, sont couverts d'un épais nuage de poussière. C'est apparemment dû aux températures très chaudes et aux vents violents auxquels on a eu droit ces derniers jours.
Si vous voulez voir à quoi ça ressemble... cliquez

Ps : ces derniers jours, notre départ approchant, on a vendu notre bien chère mitsu-mitsu, la larme à l'oeil (Cyril aussi, parce qu'il aime pas marcher). On a aussi passé une semaine dans un super appart à garder Moss, le chat de notre collègue/chef. Cool d'avoir enfin un graaaand espace juste pour soi, un canapé super confort et Foxtel... et aussi... une salle de bain propre!

jeudi 17 septembre 2009

Petites impressions de voyage

Bonjour à tous,
Moi c'est "mum", et il y a presqu'un an à la gare de Nîmes Julie et Cyril m'ont dit au revoir et à bientôt... en Australie... une boutade?!
Et bien voilà j'y suis, et plus précisément à South Coogee après un jour de vol!
Grande grande émotion de les retrouver après un an, et, sans eux ce séjour n'aurait pas eu la même saveur ni le même intérêt.
Ils travaillent (dur) au MLC center, au cœur de la City, pour continuer leur voyage vers Nouméa.
Donc très bien situés pour les retrouver après ma "dure" journée de touriste. En effet, des jours passés à Sydney, mes souliers s'en souviendront. Entre Darling Harbour, le Royal Botanic garden, les musées, un voyage en ferry dans la Watson bay, la traversée de l'Harbour Bridge, un tour de l'Opéra bien sûr, et autres déambulations dans les rues de la ville.
Sans oublier une petite vadrouille dans les Blue Mountains sur les traces de Glenn Murcutt (habitués du blog, vous avez du en entendre parler!).
Les rez-de-chaussée et sous-sol de la City sont de vrais gruyères de galeries marchandes où on peut boire et manger des plats de toutes nationalités à toutes heures. A partir de 17h tous les costumes cravates et tailleurs quittent au pas de course les bureaux de la city (à noter qu'ici on roule à gauche et donc sur les trottoirs on marche aussi à gauche).
Et passé 17h, tous les cafés ferment dans la City. L'animation se trouve vers l'Opéra, sur la baie.
Le va et vient des ferries et des bateaux dans le soleil couchant sur la baie de Sydney a eu pour moi un charme fou.
Mais venir en Australie pour Sydney ce n'est pas suffisant.
Mon rêve c'était le rocher carte postale d'Uluru. Il avait marqué mon esprit depuis longtemps, mais jamais je n'aurais pensé le voir un jour. It was so far...
Je m'étais donc concocté un premier séjour de trois jours en campement dans le Parc National d'Uluru Katatjuta. Après installation dans nos tentes, direction Uluru! Ça y est, je l'aperçois... bouche bée la fille!
On en fait le tour (et on ne monte pas dessus svp) avec Lise, notre jeune guide, très inspirée, qui nous initie au symbolisme du graphisme aborigène, dans une forêt d'eucalyptus, au milieu de cavernes immenses ornées de quelques dessins. Et cette couleur rouge! Fascinante!
Fait rare, il a plu sur le rocher! Oh on ne s'est pas trempés, mais...
Pour admirer le coucher de soleil sur Uluru, nous rejoignons une position stratégique. On y est attendu avec petit buffet et champagne en plein air, avec en fond d'écran le rocher. Le ciel est un peu nuageux, les couleurs en sont toutes aussi belles, inracontable...
A la nuit, retour au campement et repas autour d'un feu de bois. On m'apprend à repérer la croix du sud (les étoiles du drapeau australien). Mais ai-je bien compris? Parce qu'expliqué en anglais par un allemand...
Les deux jours suivants nous sommes partis avant le lever du soleil (5h30-6h) pour parcourir à pied les Mont Olga. Une superbe découverte, où nous avons aperçu deux euros (vous lisez bien, ce sont des marsupiaux situés entre le grand kangourou et le petit wallaby) et nous sommes entrés dans un "jardin d'éden", avec des cycas à tous les coins de rochers.
Pour finir, visite du King Canyon. Paysage encore différent avec les ondes d'une ancienne mer fossilisée !!? Des failles impressionnantes et toujours cette couleur rouge.
Après une nuit à Alice Spring, capitale du « Red Center », passons, direction Cairns, sous les tropiques, avec la Grande Barrière de Corail et la rainforest, la plus ancienne forêt humide tropicale du monde, tout de même! Fougères géantes, lianes, etc... et ses baignoires à toboggan comme dans le Chassezac, enfin presque...
Ma journée de rêve s'est passée dans une île inhabitée sur la Grande Barrière avec sable blanc, mer turquoise et forêt rentrant dans la mer. Pour la première fois de ma vie j'ai fait du masque et tuba (pas la peine d'aller si loin me direz-vous) et nagé au milieu de poissons multicolores, de bénitiers aux lèvres bleu vert violet, de coraux et, le must, avec une tortue venue « brouter » près de la plage. Et là c'est bon, j'ai plus que mon quota!
Petite précision : je n'ai visité qu'une petite partie de l'Australie sur cette dizaine de jours mais j'ai fait un voyage qui irait de Toulouse en Suède puis en Grèce et retour à Toulouse...
La distance n'augurant en rien de la grandeur du voyage bien sûr, mais ne l'empêchant pas...
De retour à Coogee, logée à 2 mn de la plage, j'ai profité des derniers jours pour aller par le sentier littoral jusqu'à la plage mythique (on me l'a dit) de Bondi (prononcez Bondaï), où j'ai enfin vu des surfeurs dont certains ont un look bien loin du cliché.
Mais j'ai raté l'entrainement (mythique lui aussi) des lifeguards.
La plage est magnifique.
Très peu d'Australiens sur les plages. Sur le sentier, ils jogguent les jeunes, les vieux, les gros, les maigres, avec chien ou avec poussette, dès le lever du soleil vers 6h30-7h.
Eh oui, petit inconvénient, ici le soleil est vite insupportable, et encore, on est en hiver!
Pour l'ombre, il y a les parcs. Et les parcs à l'anglaise sous cette latitude sont les rendez-vous d'oiseaux que je n'avais jamais vu : des ibis, des cacatoès de toutes sortes, des kokabooras (les chouchous de Julie), des tas d'autres inconnus, et puis un autre genre « d'oiseaux », les roussettes (pensez à Batman) pendues en colonies au sommet des arbres!
Et dans ces parcs, mes plantes d'appartement sont des arbres!!!
Et d'ailleurs je ne vais pas tarder à les retrouver après un autre jour de vol...



jeudi 10 septembre 2009



En vrac quelques photos d'Uluru et de Mount Olga, de Cairns avec ses îles et sa végétation tropicale, de la côte de Sydney, de koalas pionçant, et d'arbres couverts de chauves-souris...
Merci à ma maman pour les photos!

jeudi 27 août 2009

Balades avec ma moman!


A la conquête de Sydney!




La Watson Bay, son port et sa plage de nudistes (au dessus)


Encore une fois, le fameux Opéra vu du ferry


Darling Harbour


La passerelle du Darling Harbour avec son monorail


Le grosse horloge du Queen Victoria Building


Non non ce ne sont pas des arbres, mais des fougères... / Cyril sur le Pulpit Rock, dans les Blue Mountains


Encore le Pulpit Rock et puis une des belles corneilles qui enchantent l'Australie


Cyril l'architecte...

mardi 18 août 2009

La honte...

mardi 21 juillet 2009

Divers trucs de Glenn Murcutt

En vrac quelques trucs de Murcutt dont j'ai pas pu faire trop de photos mais qui valent le coup d'être mentionnés:
- La Boyd foundation, à visiter uniquement sur rendez-vous et c'était dimanche... Ce projet est très publié mais je voulais quand même me rendre compte par moi-même de son implantation dans le site.
- une maison sur pilotis à Echuca, au bord de la Murray river, à environ 7 heures à l'intérieur des terres depuis Sydney. Un climat un peu différent, plus chaud et plus sec. du coup un ingénieux système de ventilation par le haut.
- une maison à Newcastle, sur la côte pas très loin au nord de Sydney. Presque la même que la Marie Short mais sur un terrain en forte pente, ce qui explique peut-être l'utilisation d'une ossature en tube d'acier.

Kempsey visitor centre

Encore un bâtiment de Murcutt visité il y a quelques semaines.
Il s'agit d'un office du tourisme/musée de l'histoire locale situé à Kempsey, à 4 heures au nord de Sydney, sur la côte à proximité de la Marie Short house et construit à la même époque.
Ça se voit d'ailleurs dans la forme générale mais aussi dans les détails. Une différence de taille cependant, l'utilisation d'une structure en acier mieux adaptée aux dimensions du visitor centre.
L'ensemble est composé de trois travées de boute accolées, décalées et parfois interrompues. L'espace intérieur est donc fortement structuré par ce parti pris constructif puisqu'il s'agit d'une succession d'espaces longitudinaux haut sous plafond et reliés par des espaces surbaissés.
Une fois qu'on a dit ça, ce qui est réellement impressionnant, c'est l'extrême diversité des façades. On a là toute une bibliothèque de modes de remplissage qui s'adaptent aux besoins du programme : bardages en tôle doublés en brique au nord, baies en partie hautes, façade intégralement vitrée au sud, système d'ouverture de ventilation, façade transversale qui s'ouvre complétement, ... Même la toiture porte des éléments de cette nature.
On a l'impression d'être face à un bâtiment industriel mais ramené à une échelle humaine. Une fois à l'intérieur, cette impression s'efface puisque le plan est suffisamment savant pour nous faire oublier sa simplicité.
Les détails constructifs sont extrêmement élégants. L'intégration d'éléments d'origine industrielle (les gouttières par exemple) par l'utilisation de techniques d'ordre artisanal fonctionne parfaitement. Autant dire que pour un bâtiment vieux de 25 ans et pas très bien entretenu, il vieilli plutôt bien.
Assez parlé:

A quelque dizaines de mètres du bâtiment principal, une simple toiture construite sur le même principe pour protéger le barbecue public au bord de la route nationale permet de mieux voir certains détails d'assemblage:

jeudi 16 juillet 2009

La vue du 47ème étage...





Avec Cyril en semaine on travaille au 47ème étage du MLC Center, une des plus hautes tours du centre de Sydney, située en plein CBD (central business district). Et de là-haut la vue sur la baie est assez hallucinante!
Le CBD, c'est plein de gars en costume cravate et de filles en talons qui marchent vite et qui ont toujours un café à emporter à la main...
Et comme ils aiment bien le café, nous on leur en sert accompagné de quelques biscuits pendant leurs réunions, et parfois y a même des croissants au jambon (et on en met plein notre sac par la même occasion... bin tiens, on s'refait pas!).
Ca nous plait bien bosser là-bas parce que l'équipe est vraiment sympa, et puis ça me permet de voir Cyril en cravate...
Et pour commémorer notre "Bastille Day" le 14 juillet dernier, notre camarade de cafetière Eduardo (alias Crazy Wiper) nous a d'ailleurs fait un joli dessin ( on dirait pas comme ça, mais il est tout à fait normal quand il est pas sous médocs)...



Elle est belle l'image de la France...

mercredi 8 juillet 2009

Merci patron



mardi 7 juillet 2009

Architrucs

Je viens de mettre mon diplôme en ligne pour ceux que ça intéresse (OK Estelle, notre diplôme!).
Il est en deux parties: partie 1 & partie 2
Sinon j'ai découvert que la cité de l'architecture met ses cours de l'histoire de l'archi en ligne. C'est assez inégal en fonction de l'orateur mais il y a des trucs chouettes: Cité de l'architecture

vendredi 3 juillet 2009

Finlay house de Murcutt

Encore des photos d'une autre maison de Murcutt.
Elle est située à 3 heures au nord de Sydney à quelques centaines de mètres de la côte.
Elle date de 1983 et illustre bien l'un des grands thèmes de Murcutt et elle n' est pas dans les livres du coup c'était une vraie découverte!
C'est la combinaison un peu bancale de deux archétypes architecturaux très fréquemment réinterprétés: la grotte et la tente. Pour faire simple on peut dire que la plupart des formes d'habitat depuis l'origine de l'humanité a évolué selon ces deux grandes familles. De la grotte découlent les habitats troglodytes puis ceux construits en terre/pierre/brique/béton... De la tente découlent les paillotes puis toutes les ossatures en bois, bambous, métal et même dans une certaine mesure, les ossatures ou les coques en béton!
Chacune de ces familles génère des modes constructifs et des effets architecturaux distincts. Elle ont aussi des caractéristiques thermique, acoustique et sanitaire différentes et sont généralement adaptées aux caractéristiques physiques et aux ressources du lieu où elles sont mises en oeuvre (malheureusement de moins en moins de nos jours).
D'un point de vue symbolique, leurs significations sont souvent opposées : la grotte représente la connexion à la terre mère, à la naissance, à la vie terrestre...; la tente représente généralement l'immatériel, le divin, l'éthéré, voire même dans une certaine mesure la vulnérabilité.
Bien sûr c'est une opposition très schématique mais que l'on retrouve déclinée et recombinée dans beaucoup de civilisations. On peut penser par exemple à l'histoire des trois petits cochons.
Un autre exemple intéressant, c'est celui des pyramides sacrificielles aztèques. Elles sont généralement constituées d'un socle en terre et en pierre. Ce qu'on sait moins c'est que souvent ce socle n'est que le support d'une construction en ossature où étaient pratiqués les sacrifices. La pyramide n'est alors que le lieu de transition entre le monde terrestre et le monde divin.
Le célèbre opéra de Sydney est construit sur le même principe : un socle support d'une ossature avec la même symbolique. Les chalets d'alpage, idem! Y a qu'à lire Bachelard!
Ce qui est interresant chez Murcutt, et tout spécialement dans cette maison, c'est qu'au lieu de mettre l'un sur l'autre, il appuie l'un sur l'autre!
Je m'explique : cette maison c'est un gros mur au sud (attention sud=nord) qui abrite la cuisine, la salle de bain etc... = grotte. De l'autre coté, protégée du froid par le gros mur, s'y appuie une tente avec toute les pièces de vie. En l'occurence ici, c'est exactement la même construction que la Marie Short house à quelques détails près. Il s'est pas cassé la tête!
Assez parlé, voilà les photos...


jeudi 2 juillet 2009

mercredi 1 juillet 2009

Baignade d'hiver pour Cyril!



On l'aime notre lifeguard...

dimanche 28 juin 2009

jeudi 25 juin 2009

mercredi 24 juin 2009

Marie Short

Chose promise, chose due!
Il y a déjà quelques semaines, et après beaucoup de recherches, j'ai fini par trouver la maison Marie Short de Murcutt. Cette maison est importante dans sa carrière puisque on pourrait dire que c'est la première 100% Murcutt. Du coup je voulais pas la rater.
Elle est bien planquée à 4 heures de route au nord de Sydney, quelques kilomètres à l'intérieur des terres, tout au bout d'une piste et en lisière d'une superbe forêt d'eucalyptus. A proximité d'une ferme, elle est implantée dans un champ en légère pente vers le Sud (attention, ici sud = froid). Il a fallu déloger du champ une bande de kangourous, les plus gros que j'ai jamais vu (entre 1,70 et 1,80 mètres pour les mâles) donc j'avais pas trop envie de me faire charger.
La Marie Short, c'est une maison en bois et tôle construite par tranches et déjà agrandie d'une travée par le passé. La première chose que je remarque, c'est que des réservoirs de récupération d'eau de pluie on été ajoutés aux deux extrémités. La deuxième chose, c'est le bon état dans lequel est la maison. Contrairement au bâtiment du parc du Kakadu dans le nord, cette maison a été bien entretenue même si elle est uniquement utilisée comme maison de vacances par... Murcutt lui même, qui l'a rachetée il y a quelques années. Pas étonnant qu'il en prenne soin...
Du coup je peux aussi jeter un oeil à sa collection de livres de vacances!
D'un point de vue constructif, les détails sont simples et soignés, comme on peut s'y attendre et le voir sur les photos.
Dans l'ensemble donc une maison très simple, très soignée et qui donne envie d'y rester quelques jours à observer les kangourous...



Après avoir racheté la maison, il a construit une petite annexe pour ses invités. C'est fait avec des traverses de voie ferrée récupérées à pas cher. Ca date d'au moins 20 ans plus tard et on voit bien comment ses influences ont évolué.
Si dans le cas de la maison on voit bien l'influence américaine, ici il s'est clairement inspiré de l'architecture japonaise.
C'est juste une grande pièce, chambre/salon/cuisine, avec une petite salle de bain accolée, mais c'est plein de jolis détails, et c'est très bien construit.
J'espère qu'il m'invitera!

lundi 22 juin 2009

Toudidouda mrs Robinson...

Samedi midi, va au bar!

...et joue à "Ou est Charlie?"
Il te faut Canal+ donc un bar. Cela dit, j'incite personne à boire de la bière dés midi.
Avec Juju, on sera quelque part dans la télé.
Au moins comme ça il y aura un grand barbu pour chanter l'hymne...

jeudi 18 juin 2009

C'est bon de rire parfois

Hier je rentrais tranquillement du boulot en bus, lorsque j'ai vu, affiché en grand au pied d'un building, le nom d'une entreprise qui m'a fait bien rigoler...
Tu veux savoir ce que c'est? Clique ici

lundi 15 juin 2009

La Simpson-Lee house de Glenn Murcutt suite

J'ai donc pris le bus aujourd'hui pour aller à la Mitchell Library, la bibliothèque de l'état de Nouvelle Galles du Sud située juste à coté du parlement de l'état.
Françoise Fromonot m'avait dit, quand j'étais allé la voir à Paris, que Murcutt avait fait don d'une grande partie de ses plans à cette bibli et que du coup je pourrais y jeter un oeil.
Ca va donc être l'occasion d'un post qui intéresse personne à part moi et que personne va lire jusqu'au bout.
Après être passé par trois bureaux histoire d'avoir une carte de membre, et après avoir fait mes yeux de chien battu histoire qu'on me file ce que je voulais voir même si j'avais pas de certificat de domicile, le vieux bibliothécaire de la jaquette est remonté de son sous-sol poussiéreux avec trois grands dossiers qui contenaient environ 200 documents. Tout ça pour une seule maison, la Simpson-Lee, que j'étais allé voir il y a deux semaines.
J'ai choisi de commencer par cette maison parce que c'est celle où il s'est le plus pris la tête de toute sa carrière et que je l'avais bien analysée il y a deux ans. Du coup je voulais voir plus en détails tout un tas de trucs.
Les dates d'abord, ça commence en 1988 et c'est construit en 93 seulement, autant dire que c'est long.
Les 130 premiers dessins ce sont plein de croquis plus ou moins à main levée qui correspondent à un avant-projet. Plusieurs implantations et dispositions des espaces se succèdent en quelques semaines. Une fois la forme générale mise en place, jusqu'à un certain niveau de détails (électricité par exemple), il y a une cinquantaine de dessins qui sont le fruit d'un aller-retour entre le client, l'architecte et l'ingénieur. A partir de là, ce ne sont que les détails constructifs qui évoluent et qui s'affinent.
Toutes les échelles sont représentées, du 1/200° pour l'implantation au 1/1° pour les détails d'aménagement de la cuisine par exemple. Tout est dessiné et rien n'est laissé au hasard.
Ca donne un tas de détails intéressants comme le poêle par exemple, qui est enrobé dans une sorte de boite en acier peinte remplie de graviers, ça fait une sorte de gros radiateur. Le tuyau du poêle est doublé pour ne pas se bruler et le tuyau extérieur est percé en haut et en bas histoire de réchauffer encore mieux l'air de la pièce par convection. La chasse d'eau est escamotée dans la salle de bain dans un placard très malin. La piscine d'eau anti-incendie est elle aussi assez bien réfléchie...
Mais bon le truc le plus intéressant dans ces dessins, c'est bien sûr les détails de l'ingénieur. Je m'étais bien pris la tête à essayer de comprendre comment c'était fait en regardant dans les bouquins mais sans grand succès. J'avais bien essayé de comprendre mieux sur place, mais c'était pas évident. Avec toutes les planches de dessins (environ une vingtaine!), tout devient plus clair. La grande question c'est comment les poteaux et les poutres transversales et longitudinales se rencontrent. L'autre question c'est comment la façade avant qui coulisse pour s'ouvrir entièrement est accrochée à l'ossature. La réponse c'est qu'il triche. C'est tout soudé, pré-assemblé au sol ou même parfois en l'air du coup c'est plus facile.
Si je dit qu'il triche c'est parce que tout son projet c'est de remettre à plat la maison Farnsworth de Mies Van der Rohe en la rendant plus simple à construire et plus efficace face aux variations du climat. En quelque sorte de faire une passerelle entre tradition et modernité. C'est exactement ce qu'il fait avec sa première maison 100% pur Murcutt, la Marie Short. C'est comme une Farnsworth allongée enrobée d'une peau plus perméable au climat. Au lieu d'être soudée par soucis d'esthétisme comme la Farnsworth, elle est belle et bien boulonnée avec une attention au détail très intéressante.
Et ben dans le cas de la Simpson Lee, il succombe un peu au même travers de l'esthétisme. Au lieu d'être orienté plein sud, c'est plein est! Au lieu d'être simple et efficace dans la construction, c'est plein de détails uniques et de soudures faites sur place à 5 mètres de haut.
En gros c'est comme de comparer un vieux coucou et un avion de chasse. Est-ce bien nécessaire d'avoir la technologie d'un avion de chasse dans une maison de campagne?
Deux infos pour finir, il semblerait qu'après avoir racheté la Marie Short, il ait aussi racheté celle-là (dixit le vieux bibliothécaire de la jaquette). L'autre info c'est que sur un bout de papier, il a fait une estimation du cout de la maison en reprenant des chiffres de cout d'une maison précédente et en divisant par le nombre de m2. Il arrive à un cout de 1700$AU/m2, soit en ajoutant le prix des aménagements extérieurs, une maison à 388 000$AU en 1989 environ 1,4 millions de francs. Je sais pas comment le dollars a évolué mais ça fait quand même un peu cher!

Je me rends compte que j'ai pas encore mis de photos de la Marie Short, ça va venir...

Quizz flip

Devines combien il y avait de cameras de surveillance dans le bus que j'ai pris pour aller en ville aujourd'hui?

Wéééé, enfin du travail!

vendredi 12 juin 2009

Les joies simples de la thermodynamique!

Victoire!

Pour tout ceux qui rouspètent parce que l'adresse du blog est péte-couilles (merci Julie), il suffit désormais de taper "bouillou boinboin" (merci Amélie) dans google et hop on apparait en premier! Enfin sur mon ordi ça marche...

mardi 9 juin 2009

TROPPO architects

C'est l'heure de faire un petit bilan des trucs d'archi que j'ai été voir jusqu'à présent.
En commençant par Troppo, une agence fondée à Darwin dans le nord avant d'essaimer un peu partout dans le pays.
Darwin possède un climat un peu différent du reste du pays: beaucoup d'humidité et de chaleur pendant deux trois mois autour de noël et le reste du temps chaud et relativement sec. Pour dire les choses plus simplement, c'est tropical. Darwin c'est aussi une histoire particulièrement tourmentée puisque la ville a servi de base arrière aux Américains et aux Australiens pendant la bataille du pacifique lors de la deuxième guerre mondiale. Elle a donc été largement bombardée par les Japonais (voir le magnifique film "Australia" avec Hugh et Nicole). Après ça, la ville a été victime d'un des cyclones les plus violents de l'histoire, le jour de noël 74 : le cyclone Tracy . Plus de 70% de la ville à reconstruire, 20000 sans abris et 30000 déplacés, ça fait beaucoup pour une ville de 49000 habitants...
C'est dans ce contexte que les gars de Troppo ont débarqué d'Adelaïde. Ils ont essayé de développer une architecture adaptée au climat et à la géographie. Ils ne sont pas allé chercher bien loin leurs idées puisque l'architecture locale était fortement influencée par plusieurs vagues d'immigration en provenance d'Asie du sud-est, et plus particulièrement de l'Indonésie qui est juste en face. Ces populations ont emmené avec elles leur savoir faire et ont essayé de les adapter aux ressources et aux règlementations australiennes.
Globalement la typologie développée, c'est une cabane en tôle sur pilotis. Ça permet de vivre au rez de chaussée, à l'ombre de la maison, pendant les périodes chaudes, et de se protéger des inondations, des crapauds et autres serpents en vivant à l'étage. Les murs sont quasiment en papier puisque leur fonction principale est de couper du regard.
D'un point de vue structurel, les efforts à prendre en compte en cas de cyclone sont bien plus importants que ceux générés par la gravité. En d'autres termes, il y a plus de boulot pour accrocher la maison au sol et éviter qu'elle ne s'envole qu'il n'y en a pour qu'elle tienne debout. Concrètement, ça veut dire que c'est des poteaux agrafés à des fondations conséquentes et une structure en acier dimensionnée pour encaisser des efforts en compression et en traction.
Un certain nombre d'éléments typologiques et constructifs sont réutilisés dans plusieurs projets. En premier lieu, la tôle ondulée est omniprésente. Si l'Australie est toute rouge, c'est parce que c'est littéralement plein de fer qui rouille. Presque 20% de la production mondiale de minerai de fer vient d'ici. C'est donc évident de construire en tôle dans le coin. Même avant qu'ils aient commencé à exploiter les mines, ils importaient de la tôle d'ailleurs, histoire de couvrir vite fait des grandes surfaces. L'autre intérêt, c'est que ça peut se démonter et être utilisé ailleurs. En terme de typologie, les pilotis sont récurrents, mais aussi l'arrondi en haut du toit avec une fenêtre sur l'un des cotés histoire de créer une ventilation naturelle. L'utilisation de louvres est aussi récurrente. Des louvres, c'est un peu comme un store vénitien mais en verre.
Bon mais assez de blah blah, des photos.

Coconut Grove:

L'ensemble le plus intéressant c'est celui de Coconut Grove. Malheureusement, je n'ai qu'une photo. D'abord parce que la végétation a trop poussé depuis la construction pour qu'on voit les maisons depuis la rue, ensuite parce qu'il y a des supers photos dans un livre qui ferait un magnifique cadeau de noël, et enfin parce que la proprio de la maison en photo m'a tenu la jambe jusqu'à la tombée de la nuit.











M'enfin grâce à elle , j'ai appris plein de trucs, notamment que la plupart de ses voisins investissaient dans des clim'; que elle, elle en était pas encore là, et que le problème majeur de ces maisons qui ne sont pas éloignées de plus d'une quinzaine de mètres les unes des autres, c'est le bruit. Comme il n'y a pas vraiment de mur très épais, on entend tout ce qui se passe chez les voisins.

Draper house:






































Un exemple du fameux arrondi de toit. A noter aussi, la division de la maison en plusieurs petits pavillons, un autre élément qui revient souvent.


Hazeldine house:

Un peu dans le même genre...
































Type 5:

Plus récemment, ils ont essayé de faire des trucs plus simples et donc plus faciles à reproduire en série.













Thorak cemetery:

Un petit bâtiment de bureau simple et élégant, facile à comprendre.













































Driver houses:


Un ensemble de maisons des années 90 avec un peu trop de clims.














































Darwin convention center:


Une jolie structure pour protéger l'entrée d'une horrible salle de spectacle.





















































Divers trucs intéressants:



























































Et pour fini en beauté...

Rozak house:

Certainement leur bâtiment le plus connu, maintes fois primé et publié, un petit bijou un peu dur à trouver , à 80 kms au sud de Darwin caché dans la forêt sur une petite colline qui surplombe un lac. Certainement la plus jolie maison qu'il m'ait été donné d'approcher (du moins jusqu'à maintenant). Trois espaces différenciés reliés par une plate-forme. On ne sait pas trop où est le dedans, où est le dehors. C'est tout tordu et en même temps tout simple, complètement isolé et en même temps les voisins sont à moins de 400 mètres. Superbe!